Le Premier secrétaire de l’USFP, Driss Lachguar, a reçu mercredi au siège du parti des acteurs de la société civile du monde arabe qui participent à un programme de l’Académie de la société civile organisé par le Centre des études et des recherches humaines et supervisé par Dr Mokhtar Benabdallaoui. Cette délégation était composée de Firass Jaber de Palestine, Fadlaalah Hassouna, du Liban, Zoubir Arouss d’Algérie et Mohamed Bouyati de Mauritanie.
Plusieurs questions importantes ont été soulevées lors de cette rencontre, notamment la situation dans le monde arabe et dans la région maghrébine.
Le Premier secrétaire du parti a saisi cette occasion pour souligner l’importance de l’ouverture du dialogue entre la société civile et les acteurs politiques et rappeler que la situation aujourd’hui dans le monde arabe est des plus complexes. En atteste l’absence d’intellectuels notamment de sociologues qui, depuis toujours, ont joué un rôle important dans la société et aidé, grâce à leurs analyses et études, les hommes politiques à prendre les décisions appropriées, a-t-il fait savoir. C’était l’occasion de se souvenir de Mohamed Abed Al Jabri, le grand philosophe marocain et spécialiste de la pensée du monde arabe.
Concernant l’avenir du monde arabe et partant du contexte actuel, Driss Lachguar, tout en exprimant sa totale désapprobation à l’égard de ceux qui mettent en avant des slogans qui n’ont aucun rapport avec la réalité, a tenu à souligner que faute de leaders et de responsables qui doivent avoir pour atout perspicacité et savoir-faire, le monde arabe est appelé à faire davantage face aux risques de morcellement.
Par ailleurs et s’agissant de la région maghrébine, le Premier secrétaire a affirmé qu’il va de soi que si l’Algérie s’expose à quelque tension, cela se répercutera en premier sur le Maroc. Cela est vrai également pour la Mauritanie.
«Après les événements dramatiques du Moyen-Orient, nous souhaitons vivement que la contagion ne s’étende pas au Maghreb où les conditions de balkanisation ne manquent pas », a tenu à préciser Driss Lachguar.
Plusieurs questions importantes ont été soulevées lors de cette rencontre, notamment la situation dans le monde arabe et dans la région maghrébine.
Le Premier secrétaire du parti a saisi cette occasion pour souligner l’importance de l’ouverture du dialogue entre la société civile et les acteurs politiques et rappeler que la situation aujourd’hui dans le monde arabe est des plus complexes. En atteste l’absence d’intellectuels notamment de sociologues qui, depuis toujours, ont joué un rôle important dans la société et aidé, grâce à leurs analyses et études, les hommes politiques à prendre les décisions appropriées, a-t-il fait savoir. C’était l’occasion de se souvenir de Mohamed Abed Al Jabri, le grand philosophe marocain et spécialiste de la pensée du monde arabe.
Concernant l’avenir du monde arabe et partant du contexte actuel, Driss Lachguar, tout en exprimant sa totale désapprobation à l’égard de ceux qui mettent en avant des slogans qui n’ont aucun rapport avec la réalité, a tenu à souligner que faute de leaders et de responsables qui doivent avoir pour atout perspicacité et savoir-faire, le monde arabe est appelé à faire davantage face aux risques de morcellement.
Par ailleurs et s’agissant de la région maghrébine, le Premier secrétaire a affirmé qu’il va de soi que si l’Algérie s’expose à quelque tension, cela se répercutera en premier sur le Maroc. Cela est vrai également pour la Mauritanie.
«Après les événements dramatiques du Moyen-Orient, nous souhaitons vivement que la contagion ne s’étende pas au Maghreb où les conditions de balkanisation ne manquent pas », a tenu à préciser Driss Lachguar.
H.T. www.libe.ma
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