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“La réforme de l’administration et de la Fonction publique, tributaire de la mise en place d’un cadre juridique adéquat susceptible d’améliorer et de développer le système de la Fonction publique, revêt une importance capitale ».
C’est ce qu’a déclaré mardi Mohamed Ben Abdelkader, ministre délégué chargé de la Réforme de l’administration et de la Fonction publique, en réponse à une question posée par Mohamed Alami, chef du Groupe socialiste à la Chambre des représentants, concernant la stratégie et l’action du gouvernement sur cette question et les mécanismes de sa mise en œuvre à même d’améliorer la relation entre l’administration et le citoyen et le rendement de celle-ci, valoriser le capital humain et développer les mécanismes de gouvernance et d’organisation.
Mohamed Ben Abdelkader a, par ailleurs, souligné que le statut de la Fonction publique, vieux de 60 ans, est aujourd’hui plus que jamais appelé à être revu et corrigé. L’expérience et les faits en sont la preuve de la nécessité de procéder à cette action, pour consolider les acquis, développer le parcours professionnel des fonctionnaires et doter l’administration de moyens à même de donner un coup d’accélérateur au chantier des réformes escomptées notamment la modernisation de l’administration publique. Par la suite, il a été procédé à l’élaboration d’une plateforme de la révision globale du statut général de la Fonction publique et de la soumettre au Conseil supérieur de la fonction publique, a-t-il relevé.
Il a tenu également à rappeler que son département a établi en premier lieu les fondements de la Fonction publique et les objectifs à atteindre, et ce avant l’élaboration du programme à adopter pour la mise en œuvre de cette réforme. Dans sa réponse, le ministre délégué a également tenu à évoquer les bases et les références de ladite réforme notamment les dispositions constitutionnelles relatives à la bonne gouvernance et les orientations Royales énoncées dans le discours prononcé par SM le Roi à l’occasion de l’ouverture de la première session de la première année législative en octobre dernier, concernant la réforme de l’administration, notamment en matière de valorisation du capital humain, qui demeure la pierre angulaire de l’administration publique.
Mohamed Ben Abdelkader a fait savoir que ce chantier a franchi des étapes importantes et que son département a opté pour une approche participative en s’ouvrant sur les propositions et les contributions de spécialistes, marocains et étrangers, et s’inspirant des expériences internationales réussies.
A la fin de son intervention, le ministre délégué a affirmé qu’une première mouture du projet de loi relatif au statut de la Fonction publique sera examinée et débattue par une commission technique constituée de directeurs des ressources humaines et de responsables relevant de certains départements ministériels.
C’est ce qu’a déclaré mardi Mohamed Ben Abdelkader, ministre délégué chargé de la Réforme de l’administration et de la Fonction publique, en réponse à une question posée par Mohamed Alami, chef du Groupe socialiste à la Chambre des représentants, concernant la stratégie et l’action du gouvernement sur cette question et les mécanismes de sa mise en œuvre à même d’améliorer la relation entre l’administration et le citoyen et le rendement de celle-ci, valoriser le capital humain et développer les mécanismes de gouvernance et d’organisation.
Mohamed Ben Abdelkader a, par ailleurs, souligné que le statut de la Fonction publique, vieux de 60 ans, est aujourd’hui plus que jamais appelé à être revu et corrigé. L’expérience et les faits en sont la preuve de la nécessité de procéder à cette action, pour consolider les acquis, développer le parcours professionnel des fonctionnaires et doter l’administration de moyens à même de donner un coup d’accélérateur au chantier des réformes escomptées notamment la modernisation de l’administration publique. Par la suite, il a été procédé à l’élaboration d’une plateforme de la révision globale du statut général de la Fonction publique et de la soumettre au Conseil supérieur de la fonction publique, a-t-il relevé.
Il a tenu également à rappeler que son département a établi en premier lieu les fondements de la Fonction publique et les objectifs à atteindre, et ce avant l’élaboration du programme à adopter pour la mise en œuvre de cette réforme. Dans sa réponse, le ministre délégué a également tenu à évoquer les bases et les références de ladite réforme notamment les dispositions constitutionnelles relatives à la bonne gouvernance et les orientations Royales énoncées dans le discours prononcé par SM le Roi à l’occasion de l’ouverture de la première session de la première année législative en octobre dernier, concernant la réforme de l’administration, notamment en matière de valorisation du capital humain, qui demeure la pierre angulaire de l’administration publique.
Mohamed Ben Abdelkader a fait savoir que ce chantier a franchi des étapes importantes et que son département a opté pour une approche participative en s’ouvrant sur les propositions et les contributions de spécialistes, marocains et étrangers, et s’inspirant des expériences internationales réussies.
A la fin de son intervention, le ministre délégué a affirmé qu’une première mouture du projet de loi relatif au statut de la Fonction publique sera examinée et débattue par une commission technique constituée de directeurs des ressources humaines et de responsables relevant de certains départements ministériels.
H.T
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