Il a expliqué que la situation « nécessite la mise en place de mesures spéciales pour soutenir les groupes affectés », notant que l’état d’incertitude dans le monde rend les hypothèses sur lesquelles la loi de Finances est fondée fragiles et sujettes à modification. Il a ajouté que la dette publique élevée épuisera tous les efforts déployés pour améliorer les conditions économiques et sociales, tout en appelant à accélérer la réforme des programmes de soutien social actuels, à les unifier en deux pôles et à les prémunir contre toute «instrumentalisation politique et religieuse».
Il a également souligné que le projet de loi de Finances 2021 intervient dans un contexte marqué par une baisse du taux de croissance mondiale, une récession dans la zone euro, en plus des défis sanitaires et sociaux, du chômage élevé et une baisse des recettes touristiques et d’autres recettes.
Par ailleurs, Abdelhamid Fatihi a appelé le gouvernement à accélérer la réforme des lois électorales sur la base du consensus entre les partis politiques et le ministère de l’Intérieur, lequel consensus « a tranché de nombreuses questions » se rapportant à ces lois.
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